La césarienne
Kinshasa, le 02 juin 2021 :La fréquence de la césarienne cesse d’augmenter ces dernier temps, mais cette augmentation diffère énormément d’un pays à un autre. Notre rédaction a mené une enquête, le pourquoi de ce changement de l’augmentation de cas des césariennes car à l’époque la naissance était la voix basse.
Il n’existe aujourd’hui aucun système de classification mondialement reconnu pour la césarienne qui permettrait de réaliser des comparaisons pertinentes et significatives des taux de césarienne entre différents établissements de soins, villes ou régions.
Parmi les systèmes de classification des césariennes existants, la classification en 10 groupes (également appelée « classification de Robson ») a été largement utilisée dans de nombreux pays au cours des dernières années. En 2014, l’OMS a réalisé une revue systématique sur l’expérience des utilisateurs de la classification de Robson visant à évaluer les avantages et les inconvénients associés à son adoption, sa mise en œuvre et son interprétation, et à identifier les obstacles, les éléments facilitateurs et les adaptations ou modifications potentielles.
L’OMS propose d’adopter le système de classification de Robson comme système international de référence pour l’évaluation, la surveillance et la comparaison des taux de césarienne au sein des établissements de soins dans le temps et entre établissements de soins. Afin d’aider les établissements de soins à adopter la classification de Robson, l’OMS élaborera des recommandations sur son utilisation, sa mise en œuvre et son interprétation, qui incluront des termes et des définitions normalisés.
Chris/gbt